Le Récri recrute ! L’équipe d’organisation est ouverte aux bonnes volontés.
L’équipe est composée de jeunes chercheur-ses en économie politique, doctorant-es, post-doctorant-es ou jeunes titulaires :
Eugénie Wassef est doctorante en économie, rattachée à l’équipe CRIEG‑REGARDS au sein de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Ses recherches s’inscrivent dans les champs de l’économie politique, de l’économie sociale, et de l’économie agricole. Sa thèse porte sur le non-recours aux droits sociaux au sein de la population agricole en France, en mobilisant une approche multi-niveaux. Articulant méthodes quantitatives et qualitatives, ce travail vise à mieux comprendre le système de protection sociale français à travers une population encore peu étudiée, et à analyser les dimensions individuelles et institutionnelles du non-recours.
Cécile Vasseur est chercheuse post-doctorante au Clersé (Université de Lille). Son travail de thèse, qui s’inscrit dans la continuité des travaux d’économie politique institutionnaliste, porte sur la protection sociale et plus particulièrement sur les mutuelles de santé. Ses recherches s’orientent désormais sur les questions de protection sociale de l’alimentation et d’accessibilité alimentaire.
Mathieu Maguet est doctorant en économie au laboratoire REGARDS (Université de Reims Champagne-Ardenne). Sa thèse s’inscrit dans le courant de l’économie écologique. Elle examine les transformations de l’agriculture française de 1945 à 2020 par une analyse de son métabolisme, d’abord selon ses dimensions matérielles et énergétiques, mais en cherchant aussi à intégrer des dimensions monétaires, et plus généralement socio-économiques.
Cécile Mouchel est doctorante en économie au CESSMA (UPC). Ses travaux de thèse portent sur les réseaux interpersonnels et trajectoires d’emploi individuelles à l’épreuve de la pandémie du COVID-19 dans les zones rurales d’Inde du Sud, pour l’étude desquels elle déploie une enquête à méthodes mixtes.
Bijan Vlalilou est doctorant en économie, rattaché à Bordeaux Sciences Économiques (Université de Bordeaux). Ses travaux de thèse portent sur le développement inégal en économie écologique, et analysent les impacts environnementaux incorporés dans le commerce international et l’effet du changement structurel dans les pays du Sud.
Adèle Sébert est maîtresse de conférences en sciences économiques à l’Université de Reims Champagne-Ardenne et rattachée au laboratoire de Recherche d’Économie et de Gestion de Reims (REGARDS). Mobilisant une perspective économique institutionnaliste, ses recherches portent sur les régulations des difficultés de l’accès à l’énergie des ménages en France. Plus particulièrement, afin d’analyser les changements de ces derniers mois en matière d’énergie, elle mène actuellement un travail de caractérisation autour des formes de solidarité « énergétique » déployées par les acteurs économiques et institutionnels qui prennent en charge les difficultés d’accès à l’énergie des ménages.
Pierre Funalot est post-doctorant à l’Université de Bordeaux et enseignant à Sciences Po Bordeaux et Kedge Business School. Titulaire d’un doctorat en économie de l’Université Sorbonne Paris-Nord et membre des Économistes Atterrés, ses recherches portent sur la post-croissance et la modélisation écologique hétérodoxe.
Mathis Bachelot est doctorant en économie, rattaché au Clersé (Université de Lille) et au Centre d’Études de l’Emploi et du Travail (Cnam). Ses travaux de thèse intègrent les enjeux environnementaux à l’économie du travail, et interrogent les effets de la transition écologique sur la qualité des emplois et la polarisation du marché du travail. Il participe au projet ANR ETEWI “Transition écologique, emploi, travail et inégalités”.
Léo Revelli est doctorant au sein du laboratoire Triangle (Université Lumière Lyon 2) et du CEBRIG (Université Libre de Bruxelles). Ses travaux portent sur les impacts environnementaux des monnaies complémentaires. Il mobilise pour cela des méthodologies mixtes issues de l’économie appliquée, de la socio-économie et de l’anthropologie économique. Ses travaux reposent notamment sur des enquêtes de terrain menées à La Réunion, dans le cadre du lancement d’une monnaie complémentaire. À ce titre, il a reçu la bourse de terrain de recherche « Socio-économie et anthropologie des alternatives économiques » de la Fondation Hadrien Saiag.
Tarek Fahim est doctorant en philosophie de l’économie, rattaché aux laboratoires SND (Sorbonne Université) et ACT (Université Sorbonne Paris Nord), et ATER en économie à l’Université Sorbonne Paris Nord. Sa thèse porte sur les fondements microéconomiques de la macroéconomie et les problématiques philosophiques, liées au réductionnisme et à l’émergentisme, qu’ils soulèvent.
Nicolas Laurence est chercheur postdoctorant au Laboratoire PACTE à l’Université Grenoble Alpes. Inscrite dans une perspective socio-économique et institutionnaliste, sa thèse a exploré les dynamiques de changement institutionnel à travers l’étude de la contestation portée par certaines innovations monétaires que sont les cryptomonnaies et les monnaies locales. Actuellement, ses recherches se focalisent sur la transition écologique du secteur de l’évènementiel en analysant les processus de régulation de marché et hors marché. Il travaille en parallèle sur les enjeux de financement de la transition écologique, analysés à travers le prisme des innovations monétaires dans une perspective multi-échelles.
Jérôme Deyris est chercheur post-doctorant à Sciences Po (Centre d’Études Européennes). Après une thèse à l’Université Paris Nanterre, portant sur l’économie politique du verdissement des banques centrales, il poursuit son travail de recherche sur ces institutions technocratiques au sein du projet KnowLegPo.
Sylvain Pablo Rotelli a obtenu son doctorat de sociologie à l’Iedes, Université Paris 1. Actuellement chercheur associé du laboratoire Développement et Sociétés (Paris 1, IRD) et Maître de Conférences contractuel en Sociologie à l’Université Toulouse Capitole, Sylvain Pablo Rotelli a également enseigné l’économie monétaire et financière, l’économie de la croissance et l’économie internationale à l’Université Paul-Valéry de Montpellier. Ses recherches portent sur les relations entre le mouvement d’entreprises récupérées par leurs travailleurs en Argentine, et le tryptique champ politique et syndical – Etat – marché.
Vincent Jalabert est doctorant en économie au sein du laboratoire ART-Dev à l’Université de Montpellier. Ses champs de recherche sont l’économie écologique, l’économie politique et l’économie du travail. Ses travaux de thèse portent notamment sur l’impact environnemental du travail et l’analyse des verrous de la transition écologique dans le secteur des transports.
Colin Vuilletet est doctorant en économie au laboratoire ACT de l’Université Sorbonne Paris Nord et ATER à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Son travail de recherche porte sur les liens entre stabilité financière et dette publique, en particulier dans le cadre de la zone Euro.
Lucile Marchand est enseignante-chercheuse en socio-économie à l’Université de Perpignan Via Domitia et membre du Centre de Droit Économique et du Développement (CDED YS). Ses travaux portent sur la dimension sociale de la transition écologique et sa prise en compte, ou son absence, dans l’élaboration des politiques publiques.
Raphaël Porcherot est enseignant-chercheur à l’Université de Rouen et membre du Laboratoire d’Analyse des Sociétés Transformations Adaptation. Ses travaux portent sur les déterminants des taux de change réels, les innovations monétaires et l’échange (écologiquement) inégal).